Les classes préparatoires après le baccalauréat: Quelles perspectives pour jeunes bacheliers ?

Après l’obtention du baccalauréat, le choix des études supérieures nécessite de bien s’informer, et de réfléchir à son projet professionnel. L’orientation est un ensemble de prises de décisions et dans l’océan d’options qui s’offrent à l’étudiant, un dilemme revient régulièrement entre l’école professionnelle et l’université. Ces classes préparatoires ont elles-mêmes un mode d’admission sur dossier et vous préparent en une à faire un choix de formation.

C’est par une formation de qualité que les étudiants peuvent acquérir et surtout maintenir une compétence à un niveau tel qu’elle leur permet de s’adapter aux situations nouvelles. A l’heure actuelle, les nouveaux étudiants sont dans les choix entre les écoles professionnelle et les universités publiques et certains prévoit même de quitter le pays pour des études extérieures, et aussi le choix des filières à étudier. Dans le choix d’une filière d’enseignement supérieur, plusieurs éléments entrent en jeu que ce soit les résultats scolaires, le gout pour une activité ou une discipline et bien d’autres encore. C’est qui est important c’est de bien faire son choix et cela suppose qu’on en connait les débouchés que l’on est capable d’y poursuivre ses études tout en s’y sentant bien, comme il suppose également une démarche qui s’inscrit dans une optique de long terme. En basant sur la combinaison des compétences dont on dispose et des options de carrières.
Les écoles professionnelles offre l’opportunité de se développer professionnellement et d’accroitre le niveau de qualification ainsi augmenter l’employabilité et faciliter la mobilité interne et externe de l’étudiant. La formation professionnelle est un élément déterminant pour être acteur de sa vie professionnelle en deux ou trois ans. Dans les universités publiques aussi l’apprenant acquière des connaissances dans un sens général et cela lui permettra d’avoir des références dans tous les domaines pas seulement dans le domaine dans lequel il s’est inscrit.
Selon faycal un nouveau bachelier « je préfère poursuivre mes études dans les écoles professionnelle car cela me permettra d’obtenir mon diplôme en trois ans et sans retard scolaire ».
Nana une autre bachelière affirme: « moi je compte aller continuer mes études au Maroc en droit puisque j’ai constaté qu’à l’université de Niamey il y’à trop de retard surtout dans la faculté de droit ».
Dans l’enseignement professionnel il n’y’a pas de retard en deux ans ou trois ans la personne peut obtenir son diplôme. Tandis que dans les universités publiques, on rencontre des retards et des sessions pour finir sa première année il faut plus d’une année voire deux ans surtout dans certaines facultés de l’université de Niamey.

Seyni Mossi Sakinatou/RENJED